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«
Monsieur le Directeur,
« Sur le conseil que m’ en donne Mr. le
« marquis d'Azeglio, en ce moment
à
Paris,
« je prends la liberté de m’ adresser direc-
« tement
à
vous sans avoir eu l’ honneur de
« vous être présenté pour vous demander un
«c renseignement. Je me livre depuis quelque
« temps
à
une série de recherches non point
«
sur les armures, mais sur les oeuvres de
« Benvenuto Cellini. Les nombreuses attri-
« butions erronées m’ont amené
à
étudier le
« bouclier de l '
Armeria
de Turin, et celui du
« Bargello de Florence, que j ’ai vues l’un et
« l ’autre au mois d’avril dernier.
« A Florence le savant chevalier Milanesi
« m’ a dit que c’ est
à
vous, Monsieur, qu’on
« doit la découverte de la fausse attribution
« faite longtemps de ces deux pièces
à
l ’artiste
« florentin, et que je trouverais sans doute
« l ’ étude que vous aviez consacrée
à
ce sujet
« dans votre ouvrage
Documenti inediti per
«
la storia delle armi da fuoco italiane,
« etc., j ’ ai réussi
à
me procurer ce livre fort
« curieux, mais
à
mon grand regret je n’y ai
« rien trouvé sur le point qui m’ intéresse
« tout spécialement.
« Je vous serais on ne peut plus reconnais-
« sant, Monsieur, si vous aviez la bonté de
« m’indiquer le titre de celui de vos ouvrages
« dans le quel vous avez traité cette ques-
« tion, etc.
».
0 come va, domando io, che il marchese
D ’ A z e g lio intrinseco di questo
intelligente,
non indirizzò a lu i il sign or P
lon
? che il cav.