ARTISTI PIEMONTESI D 'OGG I: GREGORIO CALVI DI BERGOLO
che questo A rtis ta , sempre tu tto in te n to a fare e
rifare, lentamente, le varie parti di un suo quadro,
ed osservando, per esempio, l ’u ltim o suo
San Seba
stiano.
che più si ricollega alle nostre classiche tr a
dizioni, od accarezzando con lo sguardo una r ip ro
duzione di G io rg ione , o parlandovi con tra sp o rto
di Mantegna, di Be llin i, di Constable, di Rembrandt,
vi dice, ancor oggi, e sempre, anche dopo le belle
v itto rie che già lo hanno con fo rta to , con grande
um iltà
«Come è d iffìcile d ip in g e re ...» .
VITTORIO FALLETTI
(I)
Voici
un
jeune peintre —
egli scriveva —
de rare valeur, M. Calvi
di Bergolo, qui
me parait au
ssi
peu mféodé que
possi
ble aux dogmes
en faveur che/
ses
collègues de l'école italienne contemporaine. Il
est
parfoitement
mdépendant, n'ayant souci que d'exprimer avec franchise
ce
que la
nature
lui
suggère.
On
ne peut
donc guère le classer, ou plutót l'enrégimenter, puisqu'il
n'oppartient à aucun groupe
......
Une
vocation impérieuse l'avait, dés sa prime enfance, povssé
à
manier
crayons et pmceaux,
et
à
copier les chefs d'ceuvre des
musées.
À
l'age
de vmgt ans, il vint à Rome. La lumière de lo ville
le
fascine;
dés
/'cube
il partait ou motif:
«
J'é
tais alors.
m'écrivait il de Castello
di Montemagno, où il menait sa tdche dans une féconde
s
olitude,
en
complète
confiance avec la nature, et d'une indifférence absolue
quant aux
doctrines modermstes, je retrouvais dans l'architecture
ae
cette
ville le méme esprit de composition et de logique que
j'admirais
dans les marbres antiques des Thermes de Diocletien
et que je
croquais sur mes albums ».
Tracciata
poi
la
carriera del Calvi dalla Mostra di Milano al Premio
Arbarello e (non
tacendo sulle ore del dubbio, dell'inquietudine
e sulle vane
teorie che possono essersi presentate anche al Nostro)
sino
&
quando
decideva di recarsi a Parigi, il Vauxcelles cosi ancora
si esprimeva:
«
Il rencontra en notre capitale le célibre portraitiste Beltran y
Massés et lui exibo sa production
...... Et
il conseilla discrètement au
colligue de s’adonner à de sérieuses ètudes techniques estimant. avec
juste roison, que copier le modèle.à l'académie de la Grande Chaumière.
vaut mieux que
se
tramer en compagnie de dix mille jouvenceaux, à la
remorque des chefs de fecole du rhomboèdre.
Modeste,
clairvoyant,
M. Gregorio Calvi sentit l'excellence de l
'avis.etfit machine arrière.
ne quittant l'atelier que pour le Louvre
......
Le voici. désormais guén,
de retour pormi nous apportant
cette
fo
is
un
bagage de solide et fine
étoffe... Notre auteur ne se cantonne en aucun genre. ne veut pomt se
spécialiser;
tout théme
lui
est
bon
à
exprimer sa
visi
on personnelle de
l'univers sensible. Il
est hors de conteste
que Paris occueillera avec
amitié
cet
artiste loyal, doué d'une énergie lucide, d'une ardeur que
tempère
et
équihbre la ferme volonté. On sent ici une passton de la
pemture et un amour de la vie qui ne sauraient décevoir.
(2)
Tutte le scuole e le tendenze degli ultimi centotrentatrè
anni erano per quanto f
rappresentate a cominciare da
C orot (col superbo
Autoritiuuu
della Galleria degli Uffici), Hayez.
lenbach, Sargent. Fattori. Ranzoni, Toma, Gola. Segantini, Boldini,
T ito . Lavery, Laszlo. Mancini. Tallone. Grosso. Ferro, Guarlotti.
Alciati, Bosia. Maggi, a Modigliani, Deram, Carena. Ferrazzi.
Casorati. Menzio, De Pisis. Sironi. Funi. Salietti, Chessa, Valinotti.
Manzone. Calvi di Bergolo. Micheletti, Casorati, Maugham.Marussig.
ed alla giovanissima Menniey. Esposto anche un busto di Zanzi
del Guerrisi.
(Biennale d: Venezia. 1934;
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